Si l’activité principale y reste la polyculture-élevage, le végétal a pris aussi une place importante dans l’activité agricole.
Des productions végétales originales . Les « Pépinières Laurentaises » (PDF-3) se distinguent par leur production d’arbres d’ornement, de fruitiers et d’arbustes. Elles ont repris la collection de chênes de Daniel Bastard, un des plus grands spécialistes du chêne en Europe.
Dans la ferme « Il était une graine », Anne et Margot cultivent des micro-pousses pleines de goût, de couleur et de vitamines qui subliment vos assiettes. (PDF-4).
Une autre entreprise est spécialisée dans la reproduction de plants pour pépiniéristes.
La CUMA du Jeu (photo 1). Créée en 1982, la Coopérative d’Utilisation du Matériel Agricole, basée au Groseillier, est un service utilisé par la plupart des exploitants de Saint-Laurent qui permet aux adhérents de maîtriser les charges de mécanisation.
L’élevage avicole de la Bohardière. Lorsque la société avicole créée en 1973 par Joseph Grelier a été reprise en 2011 par Hendrix Genetics, elle était devenue le premier accouveur et multiplicateur de dindes européen. Le Groupe Grelier était alors présent avec ses couvoirs en France, en Pologne et en Hongrie. Un laboratoire, installé en 1998 rue St-Eloi, permet le suivi sanitaire et les innovations dans les élevages.
Quand les moulins à eau tournaient sur la rivière du Jeu (photo 2). Sur le Jeu long de 13 km, 21 moulins ont été dénombrés soit en moyenne un tous les 600 mètres.
Georges Samson en retrace l’histoire dans son livre « Les familles de meuniers de la vallée du Jeu ». Saint-Laurent a compté jusqu’à sept moulins à farine, le dernier à fonctionner étant celui de la Vieille-Chaussée jusqu’en novembre 1958.
L’élevage en 2025 .
Vaches laitières : 3 exploitations pour 220 têtes, dont une en agriculture biologique. (PDF-1)
Vaches allaitantes : 5 exploitations pour 440 têtes.
Chèvres : 1 exploitation pour 350 têtes. (PDF-2)
Volailles de chair : 2 exploitations.
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